Archives de l’auteur : Noël Podevigne

Aurélie PÉTREL – Simulation

du 26 janvier au 5 mars 2016 

Galerie DOMUS et Enssib

Vernissage le mercredi 27 janvier 2016, en présence de l’artiste :

  • Enssib : 17 h 30
  • Domus : 18 h 30

Exposition présentée en collaboration avec :
la Galerie HOUG et Les Turbulences-FRAC Centre

 » Aurélie Pétrel questionne l’image photographique, ses modes de production, sa (re)présentation et son activation sous forme d’installations. Posant la notion de « partition photographique »,  l’artiste impulse un travail d’écriture étiré dans l’espace et le temps, où chaque prise de vue prend son sens et se constitue en tant que création matérielle « à venir ». Ce travail de mise en mouvement de l’acte photographique tient pour Aurélie Pétrel du cheminement de l’expérience et de la pensée ; il présuppose une conscience toujours en éveil, cherchant à saisir, au gré des rencontres et des situations, de possibles voies d' »activation » de ses prises de vues. Conservées à l’état « latent » sous formes de fichiers numériques ou de tirages classés dans des boîtes phibox, celles-ci sont, le moment venu, transposées à une échelle tridimensionnelle, l’artiste opérant un transfert de la planéité au volume et à l’architecture.

Les dispositifs conçus par Aurélie Pétrel assimilent l’espace à un savant jeu de construction où l’architecture participe d’une expérience multiple et stratifiée de la vision. Sujet omniprésent de ses compositions depuis les débuts (paysages ou éléments de mobilier urbains,  bâtiments industriels,  scènes d’intérieurs…), l’architecture intervient de fait comme outil de définition et de structuration des dispositifs de l’artiste, à partir duquel se construit pour le visiteur un parcours d’expérience et de visibilité. Mais en connectant ainsi l’image, le système d’activation qui la supporte, et l’espace d’exposition, l’architecture est aussi facteur d’indétermination, brouillant les limites entre sujet, objet et environnement.

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Galerie Domus :

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© Aurélie Pétrel

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Vue d’exposition – Atelier Rouart, Paris, 2015

Enssib :

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© Aurélie Pétrel

 Table Simulation #01, 2015

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Œuvre conçue en collaboration avec l’équipe du FRAC Centre – Val de Loire,
dans le cadre du projet de programmation Relief(s) d’avril à septembre 2015

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Formellement inspiré de la pièce « Partition : explosion » (Galerie Houg, 2015), ce dispositif marque une nouvelle étape dans la pratique d’Aurélie Pétrel, qui intègre ici pour la première fois des œuvres d’autres créateurs à ses installations. Elle chemine au contact d’une collection dédiée à l’architecture expérimentale (qu’elle définit comme une source d’inspiration essentielle dans son parcours personnel) ; une collection d’objets avec laquelle composer, distincte de sa propre banque d’images, mais qui comme celle-ci,  envisage l’artefact dans une dimension prospective, dans un devenir espace.

En septembre 2015,  après le démontage de l’exposition et dans le cadre du mini-festival venant clore le cycle Relief(s), Aurélie Pétrel réinvestit son dispositif en substituant aux œuvres de la collection des traces de son passage aux Turbulences-Frac Centre.  Deuxième temps d’activation, « Table simulation #2 » synthétise 8 mois de collaboration et de prises de vues sous forme d’impressions sur divers supports et de tirages, rendus « visibles » sur l’ensemble des plans ou conservés dans des boîtes d’archives, préfigurant un principe combinatoire et performatif.

L’intérêt marqué de l’artiste pour le langage, les pratiques et les conventions muséographiques y transparaît dans plusieurs séries d’images, saisissant les changements d’état des oeuvres, de la réserve à la galerie, du meuble à plans à la cimaise, puis enregistrant le mouvement inverse. La réserve, espace latent de la collection, où s’originent et aboutissent ses activations matérielles, constitue pour l’artiste un lieu paradigmatique autant qu’un théâtre d’interventions. L’équipe du Frac s’est donc prêté au jeu proposé : rendre visible et activer 10 pièces de la collection le temps d’une séance de prises de vue. Le déplacement puis l’ouverture des caisses par le régisseur, la manipulation des oeuvres et leur examen par le chargé des collections et les commissaires, prend la forme d’une chorégraphie où s’entremêlent la procédure, le geste et le savoir-faire. »

Emmanuelle Chiappone-Piriou et Aurélien Vernant
Commissaires des expositions, Cycle « Relief(s) », Les Turbulences-Frac Centre, 2015

Aurélie PÉTREL

née en 1980, vit et travaille à Paris et Genève
outre son travail de création, elle est, depuis 2012, professeure et responsable du Pool Photo, HEAD, Genève
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Cédric VIGNEAULT – Dans l’oeil de Naples

du 1er décembre 2015 au 15 janvier 2016

Vernissage le jeudi 3 décembre 2015 à 18h30, en présence de l’artiste

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© Cédric Vigneault

Naples, née Parthénope, se nourrit de mythologie depuis sa création et alimente un panthéon au culte vivace. Les figures sont parfois religieuses comme Saint Janvier ou Padre Pio. Mais le plus souvent elles relèvent d’une forme d’animisme : les crânes, Maradonna, le cheval de Virgile, les chanteurs neo-melodico ou encore la camorra.

© Cédric Vigneault

 Qui arpente les rues se retrouve au centre de cette spiritualité polymorphe, de cet « Oeil de la Providence » (tel que le qualifie l’écrivain Gustav Herling) qui peut tour à tour se révéler bienveillant ou funeste. On l’enrichit de ses propres fantasmes et à chaque pas on se laisse porter dans l’inconscient d’une ville.

 Dans l’oeil de Naples est composé de 30 photographies et d’un film (montage de sons pris à Naples et de photographies).

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© Cédric Vigneault

 

Cédric Vigneault est photographe depuis mai 2002. Il a réalisé et exposé différents travaux dont « Ceci n’est pas Cuba », « Veni vidi vixi », « Taccuino veneziano », « Chroniques parisiennes », « Camp de concentration pour population tsigane de Montreuil–Bellay », « La peau de Brest »,
« La salle des pas perdus…pour tout le monde ».

Christophe Guery – Enroulements

du 12 novembre 2015 au 12 février 2016

lundi – vendredi 9h-17h

logo IUTIUT Chalon sur Saône
Bâtiment Génie Industriel et Maintenance
1 Allée des Granges Forestier –
71100 Chalon sur Saône

Coproduite par la Galerie Domus en 2014
cette exposition est accueillie à Chalon sur Saône

à l’initiative de
Gianni PILLON – Responsable de la licence professionnelle AgroEquipements

Enroulements

« … La photo est pour moi histoire d’émotions. Celles qui me traversent en permanence, celles qui s’incrustent dans ma tête et tournent en mots, en lumières…
Je pose mon regard sur le monde, avec ou sans appareil. Il me faut du temps, j’ai besoin de lenteur. Ainsi, l’image qui naît parle aussi de moi, de mes fragilités, de ce qui est en creux en moi…

Autoportrait - C. Guery
Le contre-jour me va bien.
Il me faut de l’espace, du silence, pour voir, sentir, ressentir et cet espace, ce silence irriguent ma photo.
Ce que l’on voit, ce que l’on devine, ce qui échappe, ce qui affleure peut-être…
La mer, l’architecture, la nature ce sont des thèmes qui me parlent. Je les décline avec un attrait pour la lumière, la ligne, l’infini (ou à l’opposé le détail); la volonté « d’entrer » dans le sujet, un traitement « plastique » de ce que je vois.”

Christophe Guery

Voir : La Métamorphose des ballerons
 Texte de Robert PUJADE à propos des photographies de Christophe Guery

Julien MINARD – Metal Bazaar

 Du 28 septembre au 02 novembre 2015

Bibliothèque de l’IUT Lyon 1, site de Bourg-en-Bresse

71 rue Peter Fink
01000 BOURG-EN-BRESSE

Du lundi au jeudi de 9h à 17h, le vendredi de 9h à 11h30Rencontre avec l’artiste le mardi 13 octobre à 13H00 à la bibliothèque

Cette exposition, initialement produite et exposée par la Galerie Domus en 2010 a obtenu le Prix du Public du Centre Valéry Larbaud de Vichy en 2011.

Un entrepôt de ferrailleurs à New Gujry (Inde) a donné toute son inspiration à Julien 
Minard. 
Il nous offre ici une série de diptyques qui associent des portraits à des espaces 
de ce Metal Bazaar. 
Un sens aigu du cadrage, allié à une maîtrise parfaite de la lumière et de la couleur 
donnent à voir ici d'étonnantes compositions dans lesquelles un étrange mimétisme 
semble unir les hommes et les matériaux travaillés.
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© Julien MINARD

Un Portrait de l’Inde

Habituellement, les reportages sur l’Inde nous repaissent du spectacle de foules grouillantes que bigarrent des saris safran ou fuchsia, où se détachent l’impression de sagesse d’une barbe blanche bien lissée, l’innocence d’enfants aux yeux grand ouverts et la misère dans toute sa splendeur.
Le propos de Julien Minard est totalement différent… Continuer la lecture

Christophe Guery – Le Corbusier, espaces communs, espaces partagés

du 22 septembre au 30 novembre 2015

en résonance avec la Biennale de Lyon 2015
Vernissage le 22 septembre 2015 à 18h30, en présence de l’artiste

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© Christophe Guery, avec l’aimable autorisation de la Fondation Le Corbusier

« Les cousins les plus proches des photographes sont les architectes. (…) 
Comme nous ils naviguent entre les pleins et les vides, dans les questions de lumière, de lignes et de mouvement ; dans la recherche de cohérence entre son propre 
mode de vie, son idéologie,son histoire. Et tout cela finit par se relier. 
(…) la photo a le pouvoir de produire  des images (…) qui sont des fractions 
de secondes qui racontent des histoires complètes.»

Sebastião Salgado,
De ma terre à la terre, chemin faisant,  
Presses de la Renaissance, 2013

 

Ces mots accompagnent parfaitement la fascination du photographe Christophe Guery pour
Le Corbusier. Il nous invite ainsi aujourd’hui dans ces lieux souvent mal regardés, mal vus,
que sont les passages, les entre-deux…  Modelant les ombres et les lumières, il nous fait circuler dans les couleurs chères à l’architecte.
Si ses photos nous imposent une approche parfois brutale, elles révèlent aussi son cheminement vers une abstraction poétique et des obsessions de lignes.
Espaces communs, partagés, espaces sans qualités ?

 

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© Christophe Guery, avec l’aimable autorisation de la Fondation Le Corbusier

C’est vrai, j’ai toujours cette fascination pour le côté désuet des couloirs, des boîtes aux lettres, des signalétiques… tout autant que pour les lignes dépouillées qui ouvrent sur l’ailleurs.
De lieux en lieux ce sont ces passages qui m’attirent de jour comme de nuit. Certains nous enferment dans leur silence sombre, pourtant irradié par des touches rouges ou jaunes. D’autres nous perdent entre dedans et dehors, trompés par les transparences. D’autres encore ouvrent sur des couleurs lumineuses et nous conduisent en plein soleil. L’inattendu nous surprend souvent.
Le jeu des lignes et des couleurs donne vie… Des objets extraordinaires
– comme la lampe de Xenakis – s’invitent sur le parcours.

De l’ombre à la lumière nous sommes dans l’œuvre, le regard captivé de l’intérieur ou tourné vers l’extérieur. Oubliant l’apparente neutralité des lignes de béton, la luminosité du blanc méditerranéen, je jette un dernier regard de l’extérieur, sur les ouvertures colorées et ce cheminement résonne avec mon propre parcours, ma quête d’ouverture…

Christophe Guery

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© Christophe Guery, avec l’aimable autorisation de la Fondation Le Corbusier

Christophe Guery

Christophe Guery

déjà exposé à la Galerie Domus en 2013 (Enroulements), est photographe auteur
il vit en région lyonnaise.

http://www.christopheguery.com/

 » Au fil des années, je reste passionné par l’art de la photo,
-pour « dire la vie » sans passer par les mots, nourri par le travail de mes « maîtres »,
-pour aller au-delà des apparences, aller vers la beauté, vers l’ouverture…
chercher à sortir de mes propres enfermements.

A travers le choix de mes sujets je parle de l’homme, même quand il n’est pas là, en visitant les lieux qu’il habite, les lieux où il « respire », où il travaille…

Je fais appel souvent à la photo panoramique pour l’espace qu’elle me donne et qui permet au silence et au temps de s’installer plus puissamment.
J’aime raconter une histoire.

Question plus que réponse, ma photo aime interroger, parfois déstabiliser, faire rêver ou même rassurer. Elle peut être brutale, frontale ou onirique, écrasée de lumière ou sombre, mais elle est ma vision du réel. »

« Ce réel () revisité, mais pas réinventé, ni reconstruit »
dit Olivier Prévôt de la Galerie du Curé (Luxembourg).

 Christophe Guery

Récentes expositions personnelles

2015
– Galerie Domus, Université Claude Bernard Lyon 1, Villeurbanne, « Le Corbusier, espaces communs, espaces partagés »
– Galerie du curé, Luxemburg, « Enroulements »

2014
– Galerie AXA, Lyon, « Architecture »

2013
– Cité Radieuse de Marseille, « Le Corbusier dans Le Corbusier » dans le cadre de MP 2 013
– Galerie Domus, Université Claude Bernard Lyon 1, Villeurbanne, « Enroulements »
– Espace Confluences-Polycarpe, Lyon, « Le silence habité »
– Diocèse de Lyon, « Au fil de l’eau »

2012
– M.A.C., Pérouges, « Lignes et Courbes du Béton »
– Espace Confluences-Polycarpe, Lyon, « Au fil de l’eau »

Récentes participations à des expositions collectives

2013
– Le Briscope, Brignais, Collectif 6, « 4 photos collectives »

2012
– Design-Tour, Hôtel Le Corbusier, Marseille, « Formes lumière »
– Salon de la photo de Mornant, Invité d’honneur, « Les Boules »

Nicolas Coltice – Fragments du sensible

du 9 juin au 24 juillet 2015
Vernissage le mardi 9 juin à 18h30

photo_site_nicolas » Présence attentive et silencieuse, Nicolas Coltice promène son regard comme dans un film devant une réalité par définition imposée. Derrière le viseur, se tenant toujours à respectueuse distance, il transforme cette matière pour la rendre intime et faire naître des moments sensibles où la couleur est absente, comme pour ne garder – et ne montrer – que l’essentiel. Un essentiel qu’il faut chercher au fond de soi autant que sur l’image. De ces bouts de film, de ces séquences, des ces images, parfois sous l’apparence de la banalité, il sourd une poésie, à la fois ténue et prégnante, pour qui sait en franchir le seuil. Nicolas Coltice finit par nous guider vers une réalité qui est la sienne et dans laquelle il faudrait bien se rappeler, à l’instar de Gilles Deleuze, que « l’ordre apparent peut être renversé ».

Marie Noëlle Taine

Nicolas Coltice a 39 ans, il est professeur à l’Université Claude Bernard Lyon 1, en géologie…

Nicolas Coltice

« Je suis né il y a 39 ans à Bourg-en-Bresse, et je suis professeur en géologie à Lyon.
J’ai été marqué dans mon enfance par les photos en noir et blanc des vacances familiales autour de la méditerranée.
En sortant d’un film sur James Nachtwey, Sébastien un ami cinéaste m’a poussé à faire des photographies lors de mes voyages en solitaire. Il m’a aidé à trouver un appareil d’occasion, puis Ian, un ami photographe américain m’a donné plus tard un nouvel appareil et des conseils.

J’ai réalisé des photos pour des projets artistiques,
comme la pochette du disque « Lisières » de Bruno Ruder.

Je suis attiré par le noir imperméable, le blanc solaire et la douceur des nuances grises.
Je ne fais que de l’argentique car j’aime sentir les mécanismes depuis mon ressenti jusqu’au le film, sans électricité. J’ai l’impression qu’il y a un procédé sur le fil avec des aspérités qui fera vivre un instant.

Fragments du sensible est la première exposition de mes photographies. »

L’ordre apparent peut être renversé

« C’est une phrase que Gilles Deleuze utilise lorsqu’il parle de l’acte de création et de la société de contrôle. Contrairement à l’information ou la communication qui représentent l’ordre, l’œuvre résiste à la mort. Les photographies ont l’art de renverser, de donner l’impression d’êtreoutil de communication mais de ne pas l’être. 
Rien n’est réel et tout est réel. 
Celui qui les regarde en fait ses histoires. 
Il y a le hors champ qui n’est pas là mais qui est présent, qu’on 
imagine. Quand je fais des photographies, ce n’est pas la peine pour moid’imaginer avoir un contrôle. Je ne sais même pas ce qu’il va se passer sur le film, avec les réactions chimiques dans la boîte noire, 
et il n’est pas question de passer quelque message conscient. 
Pourtant, j’ai l’impression que c’est un moyen pour moi 
de résister aux enfermements en me reliant à l’intime. »

Nicolas Coltice

Pascal Michalon – La Plage

du 5 février au 12 mars 2015

8h-20h du lundi au vendredi, 9h-12h le samedi
Vernissage le 5 février à 18h00

Ecole Nationale Supérieure des Sciences de l’Information et des Bibliothèques – enssib
17-21 bd du 11 novembre 1918 – 69100 Villeurbanne

Itinéraire poétique d’un abandon, les photographies présentées ici nous invitent dans les lieux semblant issus de quelque monde d’un temps d’après… après l’été, après la foule, après…

Coins de plage, la Plage

L’expédition photographique de Pascal Michalon se déroule depuis plusieurs années en Languedoc. Son objectif consiste à saisir hors saison un rêve collectif d’été, la plage, d’en recenser les dispositifs de jouissance publiquement organisés afin d’en mettre à jour la trame en une série de tableaux.. Sous un soleil froid, dans le silence de sites balnéaires dépeuplés, les vues qu’il prend ressemblent moins à des paysages qu’à des relevés, de ceux qui fournissent des repères visuels préalables à la réalisation de fouilles, appliquées pour celles-ci à une archéologie du bonheur estival.

Pascal Michalon plonge dans cet univers de prospection et d’admiration en misant sur les vertus documentaires du médium photographique qu’il utilise pourtant comme un nabis la peinture aux fins de nuer les couleurs. Ses grands formats carrés affichent des bandes verticales ou horizontales, tantôt larges, tantôt étroites, avec les teintes pastelles diffusées par la lumière d’hiver, où l’on peut lire des étendues de ciel, de mer, de sable ainsi que les surfaces de la signalétique et du mobilier urbains. Continuer la lecture

Marc Riboud – Gens des Gratte-Ciel 50+30

du 9 décembre 2014 au 16 janvier 2015
Vernissage le 9 décembre à 18h30

 04696_WEBM. et Mme Boulogne, locataires des Gratte-ciel depuis 1936
© Marc Riboud – 1984

Pour revoir, trente ans après, la série d’images commandée à Marc Riboud en 1984
par la Ville de Villeurbanne et la Fondation Nationale de la Photographie,
à l’occasion du cinquantième anniversaire des Gratte-ciel.